Texte en vrac de Gaffeuse

La rose ... qui a pleuré mon sang



Je me suis allongé sur mon lit comme tout les soir en espérant ne pas revivre ses souvenir noir de mon enfance. À ma grande surprise quelque minute après avoir fermer les yeux je me trouvais dans un lieux magnifique où l'herbe était d'un vert délicieux un peux plus loin il y avait une rivière dont l'eau était d'une clarté pure et lorsque qu'on regardait, on pouvais voir la vie sous marine vivre. Les poissons vivre leur vie paisiblement, les plantes aussi. Je continuai à me balader dans ce lieux un sourire au lèvre n'y croyant pas moi même. Là je vit un champ de fleurs de toute sorte. Elle était d'une beauté et elle sentait tellement bon. Là au milieu il y avait une rose rouge, la seule rose, La rose. Je pris La rose délicatement avec mes doigts. Elle ne me piqua pas avec ces épines puis je regarder le lieux si magnifique et commença à m'allonger en respirant "La rose", elle avait un parfum envoutant puis en la regardant en son cœur elle devient noir et me piqua. Je la regarda encore plus profondément et elle pleurait, elle pleure des larme de sang, mon sang !!! Elle était triste et pleurait avec mon sang je ne pus l'arrêter elle se vida de tout mon sang et mourra... Je la déposa sur la flaque de larme de mon sang. Puis m'en alla en la regardant une dernière fois. Elle était si belle, son parfum était si doux, elle me rendais tellement heureuse et elle est morte part ma faute. Va t'elle renaitre je ne sais pas et en doute. Mais je viendrais chaque jour la voir. Voir La rose qui a pleuré mon sang.

Le 20 novembre 2006



Je me suis assise dans une coin à terre dans ma chambre. Les jambes repliaient sur moi, mes bras autour de mes jambes, ma tête dans mes bras. Quelque larme coula sur mes joue s'écrasant sur le mon pantalon laissant une trace dessus. Je ferma les yeux pour ne plus pleurer. Quelque seconde plus tard je me trouver dans ce jardin où jadis j'avais rencontré cette rose qui avait pleuré mon sang. Cette herbe qui était d'un vert délicieux, était devenue cendre, poussière. Cette rivière dont l'eau était d'une clarté pure, était après prèsent rouge feux, comme de la lave. Les poissons étaient devenue des corps, les plantes des squelettes qui flottaient dans cette rivière de lave. Les arbres pleins de vie n'étaient plus que des arbres mort dont la sève ne coulaient plus et le bois était d'un noirs terrifiant. Le ciel qui était jours où le soleil était roi, là il était nuit où le noirs était roi. La seule lumière dans ce monde était la lune qui était pleine. La lune était le seule espoirs que j'avais pour voir mon chemin à fin de retrouver cette rose. Les fleurs, le sol étaient cendre et poussière. L'air était difficile à respirais. Mais j'avais promis de revenir la revoir. Déjà que j'avais promis tous les jours et que je n'est pas tenus cette partie de la promesse. Je me devait d'allé là voir. J'avais honte de ne pas avoir tenue ma promesse. Donc j'avance dans ce monde hostile connaissant le chemin vers cette "La rose" guidé pars la lune.

J'arrivais près de elle est à ma grande surprise elle n'avait pas changè comme si je l'avait quittè hier, comme si elle avait arrêtè le temps pour que je tienne ma promesse jusqu'au bout. Le monde avait changé mais pas elle. Elle était toujours aussi noir posé au milieux de cette flaque de sang qui était mon sang !!! Je la pris alors pour la voir de près. Mes doigts toucha mon sang qui était liquide alors qu'il aurait du être sec. Je la regarda essayant de sentir sa douce odeurs mais rien je ferma les yeux respira puis la seras contre moi comme si je savais ce qui allè ce passer. Puis la regarda une larme coula de ma joue et je la vie commencer à disparaitre.

Un sourire apparue sur mes lèvre. Oui me direz vous pourquoi ? Pars qu'elle a pleuré mon sang alors que je voulait que mon coeur saigne, que le sang qui coulait dans mes veines coulent hors de mes veines sort de mon corps, qu'ils coulent et tombe sur le sol s'échappant de mes veines, de mon corps pars l'entaille que j'aurais fait. Et là elle disparaissait alors que je veux disparaitre, que j'aurais aimé ne pas exister . En quelque sorte cette rose était mon coeur tout ce que je voulait faire elle le fessait. Mais la différence entre elle et moi c'est que moi je l'aurais pas fait. Ben oui !! Pourquoi me direz vous ?? Si je le veux tellement pourquoi ne pas le faire ?? Peut être pars que je suis lâche ??? Non pars que des gens autour de moi serais triste et je le fait pour eux !!! Pars que j'ai rendu des gens heureux. Je sais pas comment mais eux me l'on dit, quoi que je suis remplaçable. Oui comme tout le monde !!! Je préfère être triste et que le monde autour de moi soit heureux. C'est ainsi je n'est pas le droit au bonheur, juste le droit de le toucher du bout de doit. Moi je suis rien contrairement au gens qui m'entoure. Eux on le droit au bonheur moi non ! peut être un jour mais pas là. Je suis ainsi pour moi je suis rien je ne suis là que pour prendre le malheur des autres et de les rendre heureux. Moi je suis rien eux son tous pour moi. Je passerais toujours en dernier et vous en premier...

Peux être qu'elle a disparue pour mieux renaitre ...

Le 03 mars 2007

Phrases et citation de moi

*La mort est une douce comptine où un jours je m'y laisserais bercer.

*Tient voilà une rose rouge l'exemple de la beauté dangereuse.

*La rose est morte en pleurant mon sang, elle c'est vidè de mon sang!

*Une étoile brille, une âme est parti. Quand mon étoile brilleras, je ne serais plus ici pour vous le dire!

*La mort est comme une comptine qui nous berce tout au long de notre vie et j'aimerais m'y laisser bercer.

*La vie sans mystère serais inutile, mais une vie de mystère n'est pas une vie.

*Si je serais une plume. Je serais celle d'un ange qui seras porter part le vent pour te retrouver. Toi qui à toujours aimer être le vent. Nous serons ensemble libre de s'aimer et de ne faire plus qu'un.

*Si l'amour est une malédiction ! Je me maudirais pour toi !

*Chut écoutons le silence ... (elle est pas de moi mais j'aime bien)

*Traire est traire mais traire la pie est autre chose ... (pas de moi aussi)

*Peux être que je suis sortie de l'auberge ce soir là ...

*Mon corps peux disparaitre, l'énergie vitale peux disparaitre mais l'amour que j'ai pour toi est infini.

*L'amour n'a pas de fin c'est une énergie vitale dont mon corps a besoin pour vivre.

*Même entourais de plusieurs personnes on seras toujours aussi seule au fond de soit.

*Quand on a gouté au sexe on ne peux plus s'en passer. (pas de moi mais je l'ai souvant entendu)

*Ce qui en parle le plus c'est ceux qui en font le moins. (pas de moi mais souvant entendu)

*La vie est précieuse que lorsqu'on sait qu'on va mourir.

*C'est quand on perd un être chère qu'on ce rend compte de sa vrais valeur. (souvant entendu)

*Tu pourras toujours être entourais mais tu seras toujours seul face à toi.

*On est pas seule on est juste avec la solitude.

*Je ne frissonne ni de froid, ni de peur mais d'excitation à savoir ta mort proche. (je l'adore)

*Les rêve sont éphémères mais sont tellement beau quand tu t'y trouve.

*Un papillons seras toujours un papillons. Mais une larve pourras toujours devenir un papillons.

*L'amour est la plus grande source de souffrance.

*Perdu dans l'immensité du monde qui m'entoure.

*Entouré mais pourtant je me sent si seule face à moi.

*Fermè je ne souffrirais plus mais je ne serais pas heureuse pour autant.

*Je chercher ce que je ne trouve pas. Je trouve ce que j'ai cherchè. Je trouve sans vraiment cherchè. Mais je ne peux pas trouvè sans savoir ce que je cherche.

*Un jours il a saignè, il c'est vidè et maintenant il est vide.

*Un désir s'assouvit par un autre désir ou part le fait de l'avoir accomplie. Le désir est une forte envie.

*Je suis ce que je suis, je serais ce que je serais mais je ne serais plus ce que j'étais.

*A quoi sert de penser si ce n'est que perdre son temps.

*La penser est la seule chose qui nous reste quand on a perdu un être cher. Le souvenir est avant tout une pensé.

*Lorsque tu cherche sans trouver continue à chercher tu réussiras bien à trouver un jour.

*coin coin !!

*Le passè fait le présent, le présent est l'instant présent et le futur est la conséquence de mon choix présent

*Si la définition était indéfinie alors il faudrait la redéfinir

*C'est étant dans le noir complet que tu admire la beauté de la lumière ...

Confidence face au miroir



Je me regardais dans la glace. Voyant mon image. Non plutôt une loque oui une vulgaire loque. Puis mon reflet me posa une question

- Sa va ?

- Oui je vais bien (bien sure ce n'est pas vrais vue que je fait semblant. en même temps je ne ment pas vue que je fait semblant d'allé bien)

- Alors tu raconte ?

- Ben rien j'ai envie de rien en ce moment, je ne sais pas ce que je veux. Je suis une vrais loque !! En fait non j'ai envie de lui,d'être avec lui, être dans ces bras. Je sais que je devrais l'oublier mais je n'arrive pas. Je l'aime comme je n'ai jamais aimè auparavant. Mais je dois l'oublier car lui il ne m'aime pas. Pour lui je ne suis qu'une amie. Pourquoi je m'attache à lui comme ça ! Alors que je sais que je ne serais qu'une amie pour lui. C'est mieux d'un coté je ne veux pas le perdre je préfère être son amie même si j'aimerais être plus. Je ne supporterais pas de le perdre ! Ne plus avoir de nouvelle de lui ! Mais je ne pense qu'a lui! Je l'ai partout dans la peau, dans mes rêves, dans mes pensés, et surtout dans mon coeur! Je n'arriverais pas à l'oublier. Je l'aime comme je n'avais jamais aimé, je l'aime de tout mon âme, de tout mon corps, de tout mon coeur. Mais je dois tirer un trait sur cette amour même si c'est dure. Je ne renierais jamais les sentiments que j'ai pour lui, je les apaiserais seulement, du moins j'essayerais. Mais je ne veux pas les oublier. Même si je dois souffrir pour être un peux au près de lui, je préfère souffrir.

Mon reflet se mit à rire, rire de moi

-pathétique tu es simplement pathétique

Je la regarda les larmes au yeux qui comme à leurs habitude ne coulaient pas. Puis brisa le miroir et partie dans mon lit. Et oui elle as raison je ne suis que pathétique j'aurais jamais du laisser ces sentiments sortir en moi. Dans une famille où on ne dévoile pas ces sentiments je croit qu'ils ont raison. J'ai était conne de les dévoiler et de les laisser grandir. J'aurais pas du prendre le risque. Je ne pense pas recommencer à les laisser sortir ou grandir un jours. Je ne pense pas réouvrir un jour mon coeur à quelqu'un, du moins pas maintenant. La clef restera caché un moment.

Le 08 mars 2007

Dessine moi une fenêtre




Je marchais sur cette route droite allant là où je devais aller. La route était droite parfaitement droite, bien sure il y avait quelque bosse et fissure mais une route n'est jamais vraiment parfaite, il y a toujours un défaut. Alors je marchais donc sur cette route qui était droite. Puis la route devient un pont et en bas du pont il y avait une autoroute. Je m'y suis arrêter pour regarder les voitures. Il faisait chaud et la vitesse des voitures qui passé sous le pont me rafraichissait et me donnait l'envie de les rejoindre. Je me pencha alors pour mieux sentir ce vent. Le pont était aussi une voix rapide et les voitures passaient à toute vitesse mais personne ne c'est arrêté à croire qu'il faut être de l'autre cotè de la barrière de sécurité pour qu'on fasse attention à la personne qui ce penche du pont. Mais lorsqu'on est de l'autre coté c'est déjà trop tard. Je regardais alors par dessous cette barrière les yeux plein d'envie. Mais ne fut rien car je ne peux pas !

Je continuer donc mon chemin. Arrivè à la fin de ce pont il y avait un feu, pour la sortie et l'entrée de cette autoroute. Mais le chemin était toujours aussi droit. Le feu était rouge donc je rebroussa un peux le chemin pour regarder encore les voitures passer sous ce pont. Le feu fut vert donc je pus traverser continuant mon chemin. Après avoir marché quelque mètre je me retrouvais sur un second pont. Là la barrière de sécurité était beaucoup plus élevé aucun moyen de l'enjamber. Ni grimper. Je pouvais juste voir qu'en dessous de ce pont des trains passé. Une seconde idée noir me passa par la tête et un sourire ce fit voir sur mon visage comme si cette idée me soulageait, me rendait heureuse. Mais elle fut vite effacer lorsque je pensa à la triste des gens que j'aimais, j'adorais, mes amis et les gens que j'appréciais beaucoup. Après avoir une fois de plus contempler ce pont je continuais mon chemin. Ce pont passé et deux mètre plus loin un troisième était la cette fois ci c'était une route normale qui passé en dessous. Je m'y attarda pas et continua mon chemin regardant le paysage.

Ben oui parlons du paysage ! Il y avait des arbres nue me diriez vous c'est normal vue la saison. Oui c'est sur que en hiver les arbres sont souvant nue. On pouvait donc apercevoir les longue et fine branches. Il y avait du soleil et une route droite. Puis me voilà sur ce pont où une petit route passait dessous. Puis je regarda un peux plus loin et vue un cimetière. Puis regarda les arbres et vue 2 corbeaux posaient sur un arbre au bout de leurs branches si fine à coté du cimetière. Normale me direz vous ! J'avançais regardant ces corbeaux qui avait attiré mon regard plus que le pont. Puis lorsque je fut assè proche je vie 5 pie à cotè de ces corbeaux. Lorsque les corbeaux s'envolèrent, les pie les suivirent. Moi continuant de marcher suivant des yeux leurs déplacements je les vue ce poser non loin d'un troue fraichement creusè dans le cimetière. Puis d'instinct je regarda ma route voir où j'étais arrivé.

J'étais arrivé presque au bout de la route droite mais mon chemin n'était pas fini. Un virage s'annoncer. Puis je regardais ce qu'il y avait à cotè du virage. La fin du cimetière. Le virage était la fin du cimetière. Donc j'avançais prit le virage et arriva une fois de plus sur une route droite. Mais le décor était autres. Ils y avaient des maisons et magasins qui remplaçaient les ponts et arbres. Je continuais à marcher suivant mon chemin. Arrivé à une intersection mon regard s'arrêta sur un panneau d'une pub à droite de moi, où il était écrit "dessine moi une fenêtre". Je souri et tourna à gauche continuant mon chemin.

Au bout d'un moment de marche je tomba sur un immeuble là où mon chemin s'arrêtait. Il n'y avait ni de fenêtre, ni de porte, rien. Me demandant comment j'allais faire pour y entrer j'entendis une douce et petite voix me dire "dessine moi une fenêtre". Repensant à cette publicité je souris et m'exécuta. Lorsque j'eus finit la fenêtre se matérialisa et lorsque je l'ouvrit un oiseau y sortie. Je le regarda s'envoler le sourire au lèvre fière d'avoir put aider un être vivant sur cette terre et que si j'avais sauté d'un ces ponts je n'aurais pas put le faire.

Le 16 mars 2007

Il y a ...


des jours où l'on marche ...
des jours où l'on trotte ...
des jours où l'on cour ....
des jours où l'on tombe ...
des jours où l'on se relève ...


des jours où l'on marche ...
des jours où l'on cour ...
des jours où l'on tombe ...
des jours où l'on ne se relève pas !

des jours où l'on dort ...
des jours où l'on se réveille ...
des jours où l'on dort ...
des jours où l'on ne se réveille pas !




des jours où l'on vie ...
des jours où l'on survie ...
des jours où l'on meurt !


des jours où tous ...

inspiration du moment



coeur triste, coeur de fausse pierre, coeur qui fait mal, coeur qui bat lentement. Et que mort s'en suive, tel est la destiner de celui qui le veux bien; dans un souffle froid glacial seras son dernier souffle seul au monde; ce monde qui l'a temps de fois rejeter ne pleureras aucune goute d'eau pour lui, cette eau si précieuse qui pourrais le sauver mais faudrait il qu'il veille ouvrir les yeux et effacer cette peur qui le tétanise et l'empêche d'aimer la vie, d'aimer et de vivre.

Amitier




Amis je sais pas puis je vraiment me considérer comme votre amis. Je sais pas ! pour vous c'est quoi être amis, l'amitier ? à quoi sert l'amitier ?

Moi l'amitier c'est être toujours là pour son ami(e) et vis versa, même si il y des mauvais moment on se retrouve toujours. Même si il y a des distance entre nous je serais toujours là pour un ami(e). Et surtout la confiance pouvoir avoir confiance en eux.

Il y a ami, super ami et meilleur ami...

Et juste connaissance. Je suis quoi pour vous ...

Le 07 mai 2007

Lettre à la mers ...



J'ai besoin de parler là trop de silence et de sourire cachant la noirceur de mon coeur et je peux allé mieux, bof, mouai .... au lieux de dire non je vais mal je suis pire qu'au bout du gouffre je suis dans un tunnel sans fond noir où le vide ... le néant ... les ténèbres sont roi. Je meurt à petit feux ... la vie n'en parlons pas je suis à un point où je me demande si vivre sert encore à quelque chose. Je n'est rien je suis rien . Juste un être vide ... un être ayant oublié tout sentiment à part la tristesse, la douleur. L'amour à quoi bon je n'y croit plus. L'amitier oui peut être mais on m'oublieras vite comme un pierre jeter dans un lac pour s'amuser avec à le faire ricocher. Trouver des substitue pour ne plus penser à mal essayer mais le mal gagne toujours. Non je ne partirais pas mon âme resteras dans mon corps mis à quoi bon si mon âme est vide et si le coeur ne sais plus pourquoi vivre.

Désoler ...

Le 30 mai 2007